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Cocorig : La fibre de coco, une solution océanienne pour une meilleure résilience de notre agriculture et aquaculture

Cette note technique présente étape par étape le protocole à suivre pour transformer la bourre de coco en cordages. Elle s'inscrit dans le projet Cocorig dans le cadre du projet PROTEGE, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par la Communauté du Pacifique, en collaboration avec la Direction des Ressources marines et la Direction de l’Agriculture de la Polynésie française.

En juin 2019, le président de la Polynésie française exprimait la volonté de son gouvernement de valoriser davantage les déchets de la coprahculture. En effet, sur les 48 millions de noix de coco exploitées chaque année en Polynésie, seule la chair est utilisée pour la fabrication du monoï. Le reste (bourre de coco, coques) est majoritairement brûlé. Dans un contexte post-crise Covid, le développement de projets semi-industriels ou industriels éco-responsables, autonomes, et générateurs de ressources pour le territoire est pourtant devenu une nécessité. C’est dans ce cadre que s’inscrit le projet Cocorig porté par les sociétés Polyacht et Vaihuti Fresh, dont l’objectif est de trouver des solutions de valorisation de la bourre de coco en produits utilisables dans les secteurs maritimes et agricoles.  

Actuellement peu valorisée, la bourre de coco pourrait trouver plusieurs débouchés notamment au travers de la fabrication de cordages à base de fibres de coco. Le protocole de fabrication est explicité étape par étape dans cette note technique développée en Polynésie française. 

Bien que des résultats prometteurs aient été obtenus, des ajustements seront nécessaires pour passer à une production industrielle. 

rapport cocorig

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